Obligation triennale de DPC

Votre obligation triennale de DPC a démarré le 1 er janvier 2023 et se terminera le 31 décembre 2025.

Durant cette période, vous devrez obligatoirement avoir participé à au moins deux types d’action de DPC (Formation continue, évaluation des pratiques professionnelles, gestion des risques).


NOM ORGANISME :

ASSOCIATION UNIVERSITAIRE D’ODONTOLOGIE GARANCIERE

CODE ORGANISME : N° 8616

POUR QUI ?

Les Chirurgiens-Dentistes libéraux et salariés de Centres de Santé conventionnés.

NB : pour les Centres de Santé, l’ANDPC peut vous demander la convention signée avec l’Assurance Maladie.


COMMENT S’INSCRIRE ?

Cette année, 2 séances validantes pour le DPC (86162325001 et 86162325002) sont organisées durant les Entretiens de Garancière.

Ces séances sont identifiées dans le programme avec le logo DPC.


Il est indispensable de s’inscrire aux séances DPC :

–         sur le bulletin d’inscription en ligne sur le site du congrès

–         ainsi que sur le site mondpc.fr (code organisme 8616 ou nom de la formation Association Universitaire d’Odontologie Garancière)

L’accès aux séances de DPC (badge spécifique) sera exclusivement réservé aux participants inscrits en amont sur le site du DPC .

CONDITIONS DE LA PRISE EN CHARGE

La formation suivie doit être éligible dans le cadre du DPC. Le praticien doit être, au préalable, inscrit sur www.mondpc.fr à la session choisie et l’organisme de formation doit avoir validé son inscription avant la formation. Le participant doit disposer de suffisamment de crédits dans son enveloppe annuelle auprès de I’ANDPC.


DOCUMENTS DONT VOUS AUREZ BESOIN

Pour la création de votre compte “mondpc” : RIB + copie de votre cotisation auprès du Conseil de l’Ordre + carte RPPS (professionnelle). En 2023, I’ANDPC finance votre formation continue à hauteur de 18 heures.


QUELS SONT LES FINANCEMENTS POSSIBLES DE VOS FORMATIONS ?

Une prise en charge d’un DPC en présentiel pour une session de 3 heures est indemnisée 45 € / h soit 135 € pour une session à condition de posséder suffisamment de crédits. Si tel n’est pas le cas, l’organisme formateur sera en mesure de demander au praticien le différentiel entre le prix public de la formation et l’indemnité perçue.